ENERGIE

La perspective d’une augmentation significative des investissements étrangers en Afrique a conduit les États africains à creuser leur déficit, individuellement ou collectivement, en matière d’infrastructures énergétiques, de transport et de télécommunications. L’objectif pour ces pays est de réduire les coûts de production et d’améliorer leur compétitivité afin d’attirer les flux d’investissements directs étrangers destinés au continent africain.

Ces investissements étrangers, comme on peut le comprendre, sont regroupés dans des instruments juridiques rédigés dans des langues étrangères. C’est là que l’expertise de GLS intervient, pour s’assurer que les contrats, les instruments de facilitation, les accords de lignes de crédit sont traduits avec précision.

De nouvelles politiques et stratégies ainsi que des programmes de développement d’infrastructures à plus grande échelle se concrétisent par la réforme des lois et des règlements ainsi que par la conclusion d’accords de partenariats public-privé. Là encore, le système GLS permet de conclure ces PPP sans aucune barrière linguistique.